Le jeune Conrad se réveilla dans un endroit sombre mais bizarrement tout tanguait autour de lui, infligeant au jeune héros une nausée proche du vomissement. Il avait la tête lourde, comme nimbée de ouate, et il sentait un alcool désagréable et entêtant.
Il regarda autour de lui, il était étendu sur un grand lit à baldaquin de soie rouge et or, à côté il y avait une commode orientale en bois sombre, et enfin la pièce était couverte de diverses tentures, coussins, poufs et autres tapis. Rien de plus dans cette pièce à la fois surchargée et étonnement vide.
Il alla ouvrir la porte, mais il se rendit compte qu’elle était fermée. Au roulis sous ses pieds, il compris qu’il était sur un bateau. Cependant, ce bateau tanguait follement, tellement qu’il sut qu’il n’était pas sur un drakkar, mais un de ses grands bateaux à voile venue de ces terres lointaines.
Les heures passèrent rendant son impatience d’heure en heure plus grande, et sa colère plus noire.
Il devait être le soir quand il entendit le cliquetis significatif qu’on déverrouillait la porte de sa cellule dorée. Deux hommes parlant dans une langue gutturale lui encerclèrent violemment les poignets. Conrad pensa un temps, leurs prendre leurs sabre pendu à leur ceinture de tissus noir, mais un coup de pied dans le ventre vint à se moment là, le dissuadant de poursuivre sur cette voie. Ils l’emmenèrent un peu plus haut, montèrent quelques escaliers puis toquèrent à une grande porte. Un autre son guttural leur répondirent, et ceux-ci ce permirent d’ouvrir la porte et de jeter au pied de leur seigneur et maître le jeune barbare. Ils le forcèrent à s’agenouiller, ses fesses sur ses pieds, la tête penchée vers l’avant, faisant glisser la totalité de ses cheveux sur le devant de ses yeux.
C’est impossible de commenter 5 lignes :s tu devrais faire des chapitres beaucoup plus long :s
Comme dit au chapitre 4, c’est une de mes plus vieilles fics, je suis entrains de réécrire sous les conseils du prologue par Epice.